Dans le cadre de son engagement continu dans la lutte contre le réchauffement climatique, Epson organise en collaboration avec Morocco Numerica un événement intitulé “Arts Numériques, Regards sur l’Environnement” au sein de l’École Supérieure Des Beaux-Arts de Casablanca.

Diverses œuvres captivantes sont présentées dans des catégories artistiques et technologiques telles que la réalité virtuelle, la réalité augmentée, la sculpture numérique, l’installation immersive et interactive, ainsi que le vidéomapping. Cette initiative, qui conjugue innovation technologique et créativité artistique avec la responsabilité environnementale, revêt une dimension éducative impliquant plus d’une centaine d’étudiants qui jouent un rôle de médiation sur les deux jours de l’événement.

Mohamed Rachdi, Directeur artistique de Morocco Numerica, souligne : “Les artistes se sont toujours inspirés de la nature, mais aujourd’hui, la conscience de la fragilité de l’environnement est devenue une préoccupation éthique et politique pour l’artiste contemporain.”

Majid Seddati, Directeur artistique de Morocco Numerica, ajoute : “La dégradation de la nature a profondément modifié la relation de l’homme avec son environnement, donnant naissance à de nouvelles catégories artistiques telles que l’art environnemental et l’art écologique, militant pour le respect de l’environnement.”

Chorouq Machtache, Epson Business Account Manager Vidéoprojecteurs – Afrique Francophone, souligne l’importance du volet éducatif de l’initiative, visant à sensibiliser la jeunesse étudiante sur la responsabilité humaine face aux menaces du réchauffement climatique.

L’engagement d’Epson en faveur du développement durable remonte à 1988, où l’entreprise a été la première au monde à éliminer les chlorofluorocarbones (CFC) de ses activités. Depuis, Epson a adopté une “vision environnementale 2050” avec des objectifs tels que l’utilisation de 100 % d’électricité renouvelable d’ici 2025, la réduction des émissions directes et indirectes, la neutralité carbone d’ici 2050, et l’abandon des ressources souterraines.

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